Pastoralisme et citoyenneté
Le pastoralisme est porteur d'enjeux collectifs en termes de biodiversité, de gestion de l'eau, de protection des paysages et contre l'incendie (
Il faut mettre en avant les pratiques qui vont dans le sens de l'environnement .
Ce lien peut aussi être négatif (par rapport à la préservation de la tortue d'Hermann)
Dans la société, le citoyen doit « s?emparer », prendre conscience, connaître le rôle du pastoralisme face à ses enjeux.
Politiques publiques
Les MAET ne sont pas des aides à des acteurs économiques mais bien des soutiens à la préservation d'un patrimoine. .
Les politiques publiques doivent être cohérentes par rapport à ces objectifs. Elles n'apportent pas assez de soutien aux éleveurs Il y a peut être un travail d'explicitation citoyenne vis à vis de ces enjeux auprès des politiques. D'autant plus qu'en tant que secteur économique le pastoralisme compte peu.
Le rôle de la SAFER doit être précisé et plus largement communiqué. Les subventions des collectivités locales doivent être assimilées, traitées et contrôlées comme des investissements.
Identité et savoir faire
La valorisation des savoir-faire et des patrimoines (races, fromages) tout ceci doit être lisible pour le grand public; il faut présenter les savoir faire locaux dans toute leur dimension (dégustations, visites d'estives, lectures du paysage, visites d'élevage
La valorisation du métier de berger doit être intensifiée en insistant sur les technologies qu'il met en ?uvre, sa modernisation, sa capacité à assurer un avenir matériel décent.
Ruralité
Il y a une forte image « sentimentale » positive du berger mais l?attractivité du métier reste faible. Exode rural, isolement, perte de la cellule familiale élargie, la double activité ; créer des services, des emplois.
Il faut également souligner la difficulté d'accès au marché.
Les questions de pression foncière et l?accès au foncier très problématique restent puissants de enjeux territoriaux.
La situation structurelle favorable aux importations de lait en lien avec la taille des entreprises, le plafonnement des rendements, l'absence de dynamique dans les installations sont des freins visibles au développement d?un pastoralisme maitrisé.
La confrontation entre la logique libérale incontournable et les enjeux de territoire doit être pris en compte pour rechercher un équilibre salutaire. Il faut conforter le rôle des individus et des associations concernées ou partenaires dans la prise de décision.
Le pastoralisme est porteur d'enjeux collectifs en termes de biodiversité, de gestion de l'eau, de protection des paysages et contre l'incendie (
Il faut mettre en avant les pratiques qui vont dans le sens de l'environnement .
Ce lien peut aussi être négatif (par rapport à la préservation de la tortue d'Hermann)
Dans la société, le citoyen doit « s?emparer », prendre conscience, connaître le rôle du pastoralisme face à ses enjeux.
Politiques publiques
Les MAET ne sont pas des aides à des acteurs économiques mais bien des soutiens à la préservation d'un patrimoine. .
Les politiques publiques doivent être cohérentes par rapport à ces objectifs. Elles n'apportent pas assez de soutien aux éleveurs Il y a peut être un travail d'explicitation citoyenne vis à vis de ces enjeux auprès des politiques. D'autant plus qu'en tant que secteur économique le pastoralisme compte peu.
Le rôle de la SAFER doit être précisé et plus largement communiqué. Les subventions des collectivités locales doivent être assimilées, traitées et contrôlées comme des investissements.
Identité et savoir faire
La valorisation des savoir-faire et des patrimoines (races, fromages) tout ceci doit être lisible pour le grand public; il faut présenter les savoir faire locaux dans toute leur dimension (dégustations, visites d'estives, lectures du paysage, visites d'élevage
La valorisation du métier de berger doit être intensifiée en insistant sur les technologies qu'il met en ?uvre, sa modernisation, sa capacité à assurer un avenir matériel décent.
Ruralité
Il y a une forte image « sentimentale » positive du berger mais l?attractivité du métier reste faible. Exode rural, isolement, perte de la cellule familiale élargie, la double activité ; créer des services, des emplois.
Il faut également souligner la difficulté d'accès au marché.
Les questions de pression foncière et l?accès au foncier très problématique restent puissants de enjeux territoriaux.
La situation structurelle favorable aux importations de lait en lien avec la taille des entreprises, le plafonnement des rendements, l'absence de dynamique dans les installations sont des freins visibles au développement d?un pastoralisme maitrisé.
La confrontation entre la logique libérale incontournable et les enjeux de territoire doit être pris en compte pour rechercher un équilibre salutaire. Il faut conforter le rôle des individus et des associations concernées ou partenaires dans la prise de décision.